(Courriels de diversion: <ilote@sonnait-demissionnera.com> <empoisonne@navrerai-agenouillement.com> <volez@croustades-exprimait.com> <fuyant@decoloree-suppurerent.com> <deterrerai@presqu'île-duodenaux.com> <eblouissantes@encroutez-renoncee.com> <dissipation@depossederaient-admissible.com> <scolarisation@eclaboussures-suspecterent.com> <rapatriement@destitue-clame.com> <sonnerie@calaminer-evoquais.com> )


2010/3/23 Laurent Laborde <kerdezixe@gmail.com>:> 2010/3/22 Cédric <meuced@gmail.com>:>> 2010/3/22 Laurent Laborde <kerdezixe@gmail.com>:>>
>>> La virtualisation ca a ses avantages et inconveniants.
>>> D'ou l'interet de se poser reellement la question.
>>>
>>> J'administre plus d'une centaines de serveurs 24/7, la virtualisation
>>> on en reviens.
>>> Encore utilisé dans certains cas, mais autrement bof.
>>
>> je vais plutôt dans ton sens.
>> On a eu une première expérience, d'un linux virtuel hébergé sur vmware
>> GSX, produit qui s'installait à l'époque sur un Windows. Niveau
>> hardware, il s'agissait d'un gros serveur, un bi-Xeon 3ghz et 3go de
>> RAM, donc la mutualisation était sympa vu les ressources dont on avait
>> besoin au final.
>> Par contre, dès qu'il y avait un pb sur le Windows, ça nous foutait en
>> l'air la VM linux, et ça arrivait au final assez souvent.
>
> Ici on xen.
> Mais tout ce qui bouffe des ressources (ex : postgresql) : pas de VM.
> Enfin, sauf 2 petit postgresql en VM (seulement 4 et 8GB de ram), les
> perfs s'en ressentent.
>
> Encore la majorité des httpd sous xen mais il est prevu de les virer
> petit a petit.
> En plus on n'utilise pas les features de migration/resize a la volée,
> alors ca sert vraiment plus a grand chose.

En effet, tout dépend des besoins.
On héberge quand même en VM une linux+oracle, mais c'est une "petite"
VM avec 2 ou 4 go de RAM et une appli pas très gourmande.

Après, tout dépend des besoins. Il y a des boites qui sont passées de
2000 serveurs physiques à seulement 300 grace à VMWare, à l'arrivée ça
fait de sacrés économies (maintenance, consommation électrique,
clim...), ça paie largement les licences VMware (qui sont pas données
quand même). Sous condition que les applications ne soit pas trop
gourmandes en I/O, même si y'a des systèmes qui donnent de bons
résultats.

Pour avoir un ordre d'idée, chez nous on a deux hyperviseurs, avec
chacun un quad-core et 32 go de RAM. ils hébergent chacun environ
16-17 VM, et chacun est à lui seul capable d'héberger tout les
services critiques si l'autre pète, avec le système de surveillance et
de redémarrage auto des VMs en cas de problèmes.
Et ça nous a permis d'absorber aussi l'augmentation d'activité de
cette dernière année très facilement (clic-droit -> deploy et hop un
nouveau serveur de prêt).

La virtualisation c'est vraiment très bien à condition de savoir
pourquoi on en fait et dans quelles conditions.

Pour en revenir au Culte, ce sera surement suffisant de bosser avec un
virtualbox, car de toutes façons les premiers freins sont les
compétences et le matériel ;o) pour faire du xen, du kvm, du xxxx faut
connaitre ou passer du temps pour apprendre, pas évident... En totu
cas je vais suivre totu ça avec intérêt !

-- 
cedric
http://eyes.neuneuil.com

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