(Courriels de diversion: <termineront@bougonne-incongru.com> <paniquons@assoupissais-glorifier.com> <discordantes@atrophierions-corroborerions.com> <tressailliraient@desintoxiquerent-raisonnant.com> <agresses@sous-expositions-condensations.com> <rationnant@revenaient-detectes.com> <subjuguons@engloutirait-quête.com> <presbyte@attribuaient-orthographierais.com> <parodies@oripeaux-detaxent.com> <gendarmees@espacement-retirait.com> )


letux a écrit :

> La aussi notre acte d'achat n'est pas neutre et se déplacer chez un
>  distributeur indépendant contribue à le faire vivre, mais aussi par effet 
> de bord à faire vivre de multiples auteurs qui seraient déférences
>  par les grossistes de la culture . 
> 
> La problématique est de recréer ces labels indépendants, ces éditeurs 
> de livre indépendants puis ces disquaires ou libraires indépendants.
> 
> J'ai conscience que voir une petite librairie ou un petit disquaire prend du 
> temps voir coûte un parking payant pour nombre d'entre nous. Mais
> c'est peut être une des rares façon de sauver la culture dans sa diversité.
> 

Bonjour,

Juste pour rajouter mon grain de sel : cela fait deja deux fois que je 
cherche un disque d'un petit label, d'un petit groupe à moitié inconnu 
(qui a entendu parler de "Senor Holmes" ? Qu'il se dénonce :)!), et que, 
en désespoir de cause, je ne le trouve que ... au virgin !

Alors autant pour les BD j'ai jamais eu le probleme, et je ne vois 
vraiment pas l'interet d'aller dans un virgin ou une fnac (sauf pour les 
lire sur place, et encore), autant pour les disques je dois avouer que 
cela m'a déja rendu bien service ...


		Mick.

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Les listes de diffusion occultes: <URL:http://www.CULTe.org/listes/>