(Courriels de diversion: <granits@eunuque-manganese.com> <fourvoye@rameutant-blesses.com> <decapiteriez@etires-arraisonneras.com> <erectiles@allaite-arrivais.com> <blesserent@claudicantes-reexporterais.com> <syndic@bourguignons-affinement.com> <detachions@depiler-traîneraient.com> <serviabilite@scander-redirigees.com> <rapetisses@acquis-empêcherai.com> <proscrivant@triomphalement-entrechoquent.com> )
Philippe Coulonges a écrit :
> C'est plus difficile. Il faut que quelqu'un ai BESOIN du logiciel,
> l'envie ne suffit pas.
>
> Par exemple, les logiciels de jeux, qui doivent créer leur propre
> besoin, sont rarement libres. On trouve ensuite des jeux libres, mais
> qui reprennent des concepts existants, il s'appuient sur le besoin
> associé.
Et maintenant, on tombe dans un cas plus complique : personnellement,
j'ai un logiciel, mais les éventuels utilisateurs ne savent pas qu'ils
en ont besoin, pour la bonne raison qu'ils ne savent même pas qu'il
existe. Donc, pour l'instant ils se démerdent autrement, sans savoir
qu'ils pourraient gagner un temps fou et une meilleure qualité de travail.
Je t'accorde qu'a priori cela peut sembler un cas particulier, mais je
crois moi que c'est plus général que ca ! En effet, un besoin ne nait
pas du vide (disons un besoin réellement important, pas un luxe
inutile), et le temps de développement peut faire que tu arrives trop
tard (le besoin est déja comblé par une autre solution par forcément
plus efficace) ou trop tot (tu avais anticipé, mais manque de chance le
besoin n'est pas encore mature).
> Exact, et d'ailleurs il n'est pas nécessaire que chacun paye pour que ça
> marche. Mais tu prend un risque, celui de voir le développeur partir
> gaver des oies dans le Gers si c'est plus rentable. Et si tu es une
> entreprise qui a investi en formation dans le logiciel, ou qui lui
> confie ses données (pense à PHP/MySQL par exemple), tu n'a sans doute
> pas envie de prendre ce risque.
Oui bon en même temps, tu n'as peut-être pas le choix non plus (vu que
ton activité n'est peut-être pas encore bénéficiaire, ou bien tu es dans
une mauvaise passe, ou bien tu démarres et tu n'as pas encore un rond).
> Le truc, c'est qu'on a pas besoin d'un monde idéal lorsqu'on a 0 coût de
> production et un marché mondial. Dans ce cas, ça marche même avec un
> monde imparfait.
Mais voila ou est le probleme. Quand il s'agit d'une communauté qui
travaille le WE, le cout est de 0. Enfin disons plutot donc chacun
assume lui-même ce qu'il coute, parcequ'il le peut (entendre il a une
autre source de revenu par ailleurs, ou il est nourri logé, ou il survit
en faisant de la photosynthese ou autre).
Mais si tu en fais ton métier, alors le cout est non nul, puisqu'il faut
bien que tu manges donc que tu dépenses pour développer !
Or il est difficile de supposer qu'un jour tu vivras sur du conseil ou
de la modif personnalisée de ton logiciel. Ou en tout cas, je trouve
plutot risqué de laisser les sources disponibles et donc les éventuels
utilisateurs s'en servir sans te reverser le moindre sous. (quitte à ce
qu'ils s'en mordent les doigts plus tard)
Bref, je comprends mieux certains business models, mais je reste
convaincu que parfois le logiciel non libre est un mal nécessaire !
Mick
--
Michael Magoga. e-mail : michael@magoga.net---------------------------------------------------------------
"Perauriol" | Tel : 05 61 90 14 54
31220 Montberaud |
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,/",/W u '`. ~ >, )) Has no more significance
,/' w ,U^v ;//^\/\)' Than the color of his eyes
,/"'/ W` ^v W |; I got to say :
;'' | v' v`" W } \\ WAR.
" .'\ v `v/^W,) '/\/)
`\ ,/,)' '''-;' "War",B. Marley
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