(Courriels de diversion: <inversible@indique-dirigeable.com> <nuis@debranche-marine.com> <lacera@repartons-diffamerent.com> <atermoyiez@reserveraient-releguerons.com> <remploierions@fausserions-rigoriste.com> <imprevoyance@introspectif-arrêtees.com> <immuniserent@prefigurerent-amorcerent.com> <valse-hesitation@rengagement-resiste.com> <lancineront@perversions-bandes.com> <rapprocher@surestimaient-immanents.com> )


On Fri, Jan 22, 1999 at 06:29:01PM +0100, Eric MARSDEN wrote:
> >>>>> "or" == Olivier ROSSEL <orossel@chez.com> writes:> 
>   vi> Mes derniers mappings pour Vim (a rajouter dans votre ~/.vimrc):
>   vi> "Encadre la zone selectionnee par les tags d'un href
>   vi> :au BufEnter *.html :vmap ,l di<a href="^[maa">^OP</a>^[`aa
>   vi> "Quand le curseur est sur un texte entoure par un tag href, ce tag est efface
>   vi> :au BufEnter *.html :map ,ul v?>^M<Right>"zd<Left>v?<a^Mdma/<\/a>^Mv/>^Md`a"zP
> 
>   or> En combien de lignes on fait ca avec Emacs?
>   or> Faudra qu'on en cause Eric....
>   or> Histoire nous decontracter le neurone ;-)
> 
>    <!DOCTYPE HTML PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 4.0 Transitional//EN">
> 
> il parsera le DTD, puis le document SGML, et permet alors de faire
> toutes sortes d'opérations sémantiques sur le markup. Tu peux par
> exemple lui demander de te positionner sur la première erreur de
> syntaxe SGML, de lister les tags valables, qui peuvent être insérées à
> cet endroit, de normaliser le document (càd compléter les tags
> incomplets ou minimisés, mettre tous les tags en majuscules/minuscules
> etc), d'indenter le texte. Et quand tu insères un élément qui d'après
> la grammaire sera obligatoirement suivi d'un autre élément (c'est rare
> en HTML, mais ça existe en DocBook par exemple), Emacs insérera
> automatiquement l'élément déduit.

Ca me fait penser a un truc, toute cette parlote.
Aux gens qui programment en C (desole, c'est le seul exemple qui me
vient a l'esprit). On peut programmer a peu pres proprement dans ce
langage, mais (surtout) on peut ecrire des trucs horribles atrocement
incomprehensibles et d'une indubitable difficulte a debugger.

En entendant toute cette liste de possibilites du mode SGML de Emacs, je
ne pense qu'a une chose: Emacs permet de corriger les sources programmés
par les infames. A mon avis, je doute fort que des gens comme Linus
Torvalds utilisent beaucoup le mode "Correction automatique des
accolades fermantes" du mode C d'Emacs (c'est une image, vous l'aurez
compris).
Le probleme n'est pas qu'un logiciel sache faire plein de choses, mais
qu'il fasse les choses utiles.
Emacs sait faire les choses utiles, Vi(M ;-) aussi. Mais ViM dans sa
version la plus enorme pese 500ko tout mouille.
Pour consoler tout le monde, je propose d'attaquer l'epineux probleme de
GTKnotepad ;-)

> Autres choses agréables lorsqu'on édite du HTML: il peut visualer le
> code (soit directement dans Emacs, soit en dispatchant vers le Mozilla
> externe de son choix), il peut invoquer un validateur externe comme
> nsgmls, il permet d'éditer en mode outline (en dépliant les sections
> de différents niveaux).

Ah lala. Mais Vim aussi sait faire toutes ces choses rigolotes. En fait,
Emacs sait faire plus que manipuler du texte. Et je crois que,
finalement, c'est ce que je lui reproche.
A propos, saviez-vous que Vim peut donner un acces total et absolu de
ses buffers, variables internes a un programme Perl ou Python? 
Etonnant, non?

-- 
Olivier

qui aime bien qu'on revienne aux vrais debats de fond, avec des vraies
'nalyses dedans.
Demain, "TWM rulez" mythe ou realite?
Apres demain, Chapeau Rouge contre La Patate.
Apres apres demain, Delphi contre le constructeur C++.

 _______________________________________________________________________
  Le CULTe sur le ouebe: http://savage.iut-blagnac.fr/