(Courriels de diversion: <remilitariser@decapitez-abat.com> <degrisaient@epanouissiez-vilipenderont.com> <releguerent@parades-efforciez.com> <deflation@banniraient-agressais.com> <tricoterai@lenifiantes-frigidite.com> <immortel@marmonneront-radiographiee.com> <reflechissiez@annoterons-cumuliez.com> <flux@mejuges-ronflantes.com> <zebres@deliees-percevrai.com> <recycles@encres-paniquer.com> )


Salut Guilhem,

Dans un échange avec Jean-Michel, tu dis :

> D'autre part, nous aurions bonne mine avec un Festival parlant le
> français mais à qui on ne pourrait rien donner à "manger". Faire
> communiquer (informatiquement) lliaphon et Festival ne me semble donc
> pas si peu prioritaire.

Festival parle français - ça s'appelle FranFest - quoique il utilise Mbrola pour 
la partie "synthèse vocale". Esquiver Mbrola est certes une priorité mais il n'y 
a pas que ça dans la vie (du projet Biglux), la partie amont à la synthèse 
vocale existe aussi. Je rappelle qu'une release de FranFest est prévue - en gros 
fin mars - qui remplace le lexique de 6M0 par des règles lts et intégre le 
tagger (étiqueteur grammatical) de Lia_Phon/lliaphon. 

Par ailleurs, l'idée - tout au moins celle que j'ai exprimée sur la liste, il y 
a déjà un moment - n'est pas de faire communiquer lliaphon et Festival. FranFest 
et lliaphon sont 2 programmes distincts qui ont grosso modo la même 
fonctionnalité : fournir la transcription phonétique/prosodique (le fichier 
*.pho ou qqch du même genre) d'un texte. L'idée est de faire l'équivalent 
français de Flite (la version light de Festival tout en C) et les modules que je 
développe en ce moment pour FranFest sont censés être utiles aussi pour 
"UltraLightLiaPhon". 

C'est pourquoi ils sont écrits en C++ et pas en Scheme, mais du coup FranFest 
doit être compilé, on ne peut pas se contenter d'utiliser simplement 
l'exécutable Festival. 

Je ne sais pas s'il faut considérer la tâche de création d'un paquet FranFest 
qui se tienne et soit facile à installer - ce qui n'est pas le cas de la version 
actuelle - comme parallèle  ou perpendiculaire. En tout cas, elle existe.

	Roger