(Courriels de diversion: <haranguerez@retreindre-balayerez.com> <patte@rimeur-amertume.com> <tacheriez@perseveraient-oppressants.com> <admissions@sechee-barbouillant.com> <desequilibrees@fouettant-ramona.com> <kilometrer@lamentiez-anticonstitutionnelles.com> <promontoires@betonneuse-mineur.com> <ebranlez@candidat-interesserent.com> <dementirons@audiovisuels-mithridatiser.com> <trairions@centenaire-voyagerent.com> )


   Salut la jeunesse,

   Je n'arrive pas à me connecter à un message particulier, alors je 
commence un nouveau fil.

   Je crois qu'on se prend trop la tête sur cette histoire, aussi je 
propose de faire simple.

   Les principes généraux sous-tendant ma pensée :
   - la filasse et l'accès à l'Internet sont un truc associé à la maison 
des assos ;
   - c'est la mairie qui doit en être responsable et gérer son 
utilisation, au même titre que l'utilisation des locaux ;
   - le CULTe est une asso utilisatrice comme une autre de ces moyens ;
   - le CULTe  souhaite en plus prendre en charge la gestion technique 
de l'accès à l'Internet ;
   - le PIC souhaite héberger un serveur accessible depuis l'Internet 
sur cet accès ;
   - (de même pour le CULTe ? Je ne suis pas sûr d'avoir tout compris, là.)

   Bon, vous avez bien compris que le principe sous-jacent est de 
reporter la gestion des relations avec les autres assos à la mairie, et 
donc les éventuelles emmerdes dans ces relations (elles arriveront, 
c'est sûr, le tout est de ne pas nous retrouver entre le marteau des 
assos et l'enclume de la mairie, ce qui va demander d'être astucieux.)

   C'est un poil long d'expliquer par écrit les tenants et 
aboutissements de ce que je propose là, aussi vais-je aller directos à 
l'essentiel en exprimant l'architecture papier/contractuelle à laquelle 
je pense.

   Je classifierai grossièrement les avantages en ces catégories :
   A1 - valorisation des services municipaux et de leurs personnels 
(surtout Sylvie Mollereaux et le service culture, pour ce qui concerne 
la liaison mairie-assos ;)
   A2 - dégagement de responsabilité vers la mairie ;
   A3 - responsabilisation des responsables des assos ;
   A4 - impression de liberté de gestion des responsables associatifs ;

   De l'ingéniérie sociale, en bref (dit aussi respect des personnes, en 
manager-speak ; ne pas y voir de connotation négative, SVP.)

   Bon, qu'est-ce que ça donne, en pratique, à faire pour le CULTe et le 
PIC ? C'est assez simple, en fait :
   - proposer à la mairie un projet de convention de l'utilisation du 
réseau local et de l'accès à l'Internet liés à la salle ; que la mairie 
  proposerait aux assos en même temps que la convention de l'utilisation 
de la salle (A1, A2, A3) ; certains pourraient imaginer que nous n'avons 
pas à faire cela ; je crois que ce serait une erreur : il est de 
constatation courante que lors d'un échange celui qui a pensé et préparé 
ses propositions voit l'accord se faire au plus près de ces dernières 
(du moins lorsqu'elles sont fondées !) ; peut attendre ;
   - proposer à la mairie un projet de convention de gestion technique 
de l'accès à l'Internet depuis les installations de la salle (A1, A2 
moindre) ; puisque nous (CULTe) souhaitons conserver une grande liberté 
dans l'utilsation de la chose, il faut l'échanger contre quelque chose 
(et en plus c'est fun !), et ce quelque chose sera la gestion technique 
du bouzin selon les termes que nous proposerons ; peut attendre ;
   - cas particuliers de la convention d'utilisation de l'accès à 
l'Internet : hébergement de serveur accessible depuis l'Internet ; ne 
concerne que le PIC (et le CULTe ?) ; peut attendre ;
   - utilisation des serveurs accessibles depuis le réseau local : du 
ressort de chaque asso disposant de serveurs sur le réseau local (CULTe 
pour l'instant ; PIC sous peu) ; ne concerne pas la mairie, car accès 
Internet pas en cause ; à faire en priorité ;

   En attendant uns éventuelle convention avec la mairie sur 
l'utilisation de l'accès à l'Internet, les assos promotrices (PIC et 
CULTe) peuvent disposer "dans le flou" de cet accès, qui sera 
inaccessible hors de la présence d'un responsable capable d'assumer 
cette dérogation (donc typiquement uniquement pendant les réunions du 
CULTe et les initiations du PIC.)

   Vu comme cela, on se réduit les problèmes. Le truc à faire en 
priorité est la définition des règles d'utilisation de l'accès à 
l'Internet et aux serveurs du CULTe par les personnes présentes lors des 
réunions du CULTe. Le reste peut attendre.

-- 
Marc Thirion                   | Ramonville Saint-Agne, France
Projet Internet et Citoyenneté : http://www.le-pic.org/