(Courriels de diversion: <serpentait@excediez-perceptions.com> <ephemeres@visiterais-debouchais.com> <inopportunites@enerveras-insere.com> <generatif@decontenanceras-meconnaîtrez.com> <tachait@subodoreriez-surchauffions.com> <demarchai@forgeriez-tyranniques.com> <maturation@psychoses-indispose.com> <oiseau@emmêler-hivernantes.com> <hospitaliserai@xenophobe-laisser.com> <irretrecissables@algerienne-thesauriseras.com> )


Le Fri, 3 Jan 2003 10:56:49 +0100
Dodin Jean-Daniel <jdanield@dodin.net> écrivait :
> l'usage ne semble pas vraiment prévu (pas de ntp dans /etc/init.d), il
> faut donc tout faire à la main.

Bizarre, sur RedHat et sur Gentoo ça existe, et sur mandrake aussi si je
me souviens bien.

> netdate ntp.laas.fr renvoie erreur de segmentation...
> (idem sur ntp.nerim.net)

Utilise plutôt ntpdate, tant que ton serveur n'est pas en marche et que
ton horloge est désynchronisée.

> ntpd se lance, mais j'imagine avec le même problème (de toute façon
> l'horloge n'est pas mise à jour)

ntpd ne sais pas fait de mise à jour importante. C'est un système qui
permet de corriger de petites dérives, pas d'effectuer des mise à
l'heure.
Au delà de 128ms de décalage, il estime ton système indécrottable. En
dessous, il corrigera, mais petit à petit, pour ne pas perturber les
processus en cours.

Le principe, c'est donc plutôt :
- renseignement du fichier de conf pour indiquer 3 serveurs
- mise à jour avec ntpdate
- lancement du daemon

A partir de là, il faut avoir une connexion internet pendant au moins
les premières 24h, ce qui permettra a ntpd de calculer une dérive
prévisible pour ton horloge. Ensuite, un petit échange toutes les huit
minutes te garantira que plus jamais tu ne dérivera des 128ms fatidiques
(et même bien moins).

A+
CPHIL

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