(Courriels de diversion: <lancerez@indecise-obtuses.com> <impayable@deteriorez-approximativement.com> <postera@reformes-commemore.com> <defroncer@verite-interêts.com> <cacheraient@sous-evaluerons-reapprends.com> <sous-payerait@enonciation-sous-payes.com> <cuirait@diphterie-soupions.com> <preleveras@gouter-graduerions.com> <pronerais@maîtresse-peninsules.com> <inexplorables@participais-peignant.com> )



  Voici une traduction de la chose :

   (*) Extrait de l'ADA: "no individual should be discriminated against
   on the basis of disability in the full and equal enjoyment of the
   goods, services, facilities, privileges, advantages, or accommodations
   of any place of public accommodation" (42. U.S.C. 12182[a]).

  « Aucun individu ne doit être, à cause d'un handicap, l'objet d'une
discrimination qui empêcherait son accès complet et normal aux biens,
services, équipements, privilèges, avantages ou espaces de tout lieu
public. »


  Accessibilité : le prochain défi pour Linux

                par Bryan Pfaffenberger  p@virginia.edu                                7 Juin 2000

  500 millions de personnes dans le monde souffrent de handicaps dont
l'effet est aggravé par une conception inadaptée des logiciels. Si
vous développez du logiciel pour Linux, prenez le temps de lire cet
article et d'apprendre ainsi comment rendre votre logiciel plus facile
d'accès pour les personnes dotées d'une vision, d'une ouïe ou d'une
dextérité amoindries.

  Linux (et le logiciel libre en général) est lié à la justice sociale.
Si vous ne croyez pas en cette affirmation, posez simplement la question
aux utilisateurs toujours plus nombreux de Linux dans les pays pauvres.
Dans certains pays, le prix d'un ordinateur personnel, du système
d'exploitation et d'une suite bureautique commerciale dépasse le revenu
annuel moyen par tête. Des projets tels que KDE, la suite K Office,
GNOME, Gnumeric et Abiword promettent d'amener la technique informatique
à la portée des personnes et des groupes qui n'auraient sinon pas les
moyens de se l'offrir. Néanmoins, la « communauté » Linux pourrait faire
mieux lorsqu'il s'agit de répondre aux besoins d'un autre groupe de
personnes désavantagées : les handicapés. Leur nombre n'est pas faible.
D'après une estimation récente de Microsoft, 30 millions de citoyens des
États-Unis d'Amérique, et un demi milliard de personnes dans le monde
souffrent de handicaps physiques ou mentaux qui limitent leur possibilité
d'utilisation des ordinateurs non conçus de manière accessible.

 C'est un domaine dans lequel Microsoft a pris nettement la tête. En 1995,
après plusieurs années d'une prise de conscience interne croissante
amenée par Greg Lowney, promoteur de l'accessibilité et ancien chef de
projet Windows, Microsoft a annoncé une politique société officielle
consistant a garantir l'accessibilité de ses produits. Nous verrons
plus loin les résultats de cette politique, mais je vais faire part de
mon propos dès à présent. Bien que Microsoft mérite des louanges sans
réserve pour sa position de pointe dans ce domaine, il y a une raison
(et, je pense, une raison très importante et convaincante) qui fait que
les intérêts des handicapés ne sont pas bien servis par un marché qui
ne leur offre aucune alternative véritable aux produits Microsoft.
Une analyse critique des initiatives prises par Microsoft dans le
domaine de l'accessibilité révèle qu'elles ne sont pas entièrement
altruistes ; en fait, elles s'insèrent remarquablement bien dans les
ambitions de Microsoft en vue du contrôle quasi-total du marché des
systèmes d'exploitation pour ordinateurs personnels. De plus, les
efforts déployés par Microsoft pour attirer des groupes de handicapés
dans un monde tout-Microsoft pourraient aboutir finalement à décourager
le développement de nouvelles techniques d'assistance reposant sur un
couplage plus faible entre le système d'exploitation, le gestionnaire
de fenêtres et le bureau - ce qui est justement l'avantage technique
procuré par Linux.

 Je vais développer et soutenir ces thèses bientôt, mais voici tout
d'abord la conclusion. D'une façon louable, le Groupe Handicaps et
Accessibilité de Microsoft a effectué énormément de recherches sur
la manière dont les matériels et logiciels peuvent être rendus plus
accessibles aux personnes souffrant d'une vue, d'une ouïe ou d'une
dextérité amoindries, et il a publié les résultats de cette recherche
sur le ouaibe. Ceux qui développent des logiciels pour Linux devraient
arrêter tout de suite et lire [1]ce document avec attention. Selon toute
probabilité, vous apprendrez comment quelques aménagements simples à
votre interface peuvent faire une grande différence dans la manière dont
votre programme deviendra plus utilisable par une personne souffrant
d'une vision, d'une ouïe ou d'une dextérité amoindrie.
Votre programme est-il à la hauteur ?

Les initiatives prises par Microsoft en faveur de l'accessibilité

 S'il y a un domaine dans lequel Microsoft mérite des louanges sans
réserve, c'est celui de l'engagement de la société en faveur
de la conception de matériels et de logiciels prenant en compte
l'accessibilité. De peur que quelqu'un intérprète mal mon propos,
permettez moi de clarifier dès le début que je ne ressens qu'admiration
et respect pour les employés de Microsoft qui ont courageusement promu
la cause de l'accessibilité, et, ce faisant, apporté une véritable
amélioration dans la vie des milliers de handicapés qui n'auraient
autrement pas pu utiliser d'ordinateur.  Néanmoins, Microsoft est
mue par le profit, et, qui plus est, elle ne semble pas savoir où il
convient de s'arrêter losqu'il s'agit de conquérir des parts de marché.
Sans vouloir contester les motivations des employés de Microsoft qui
oeuvrent à rendre les produits de cette société plus accessibles, je
voudrais quand même m'interroger sur la mesure dont cet effort louable
pourrait en réalité posséder une autre dimension, moins altruiste.

 Commençons par examiner de manière critique ce que Microsoft entend par
accessibilité. Dans l'une des pages ouaibe de la société
(« [2]Accessibilité et Microsoft »), l'ordinateur et le logiciel
accessibles sont définis comme ceux qui « rendent possible à plus de
gens d'utiliser avec succès ces techniques pour leur travail, éducation
et loisirs ». Mais il n'est pas nécessaire de lire beaucoup plus avant
pour trouver des preuves de la mentalité de guerre éclair du marketing de
cette société. C'est très bien de concevoir des programmes spécialement
destinés aux handicapés, nous dit-on, mais ceci ne devrait pas isoler
les utilisateurs : « La plupart des handicapés ont besoin de servir
des applications courantes afin de bénéficier des dernières nouveautés
et de faciliter le partage de travail et d'information avec leurs
amis et collègues » (« [3]En quoi les ordinateurs sont accessibles »,
c'est moi qui souligne). Pour cette raison, il s'ensuit logiquement que
les mécanismes d'accessibilité doivent être implantés dans le système
d'exploitation au moyen d'une interface applicative (API : Application
Programming Interface) normalisée que tous les programmeurs Windows
peuvent utiliser. En fait, la société requiert maintenant que les
programmeurs se conforment aux recommandations édictées par la société
en vue de l'accessibilité. Pour avoir le [4]droit d'utiliser le logo
Windows, les éditeurs de logiciels doivent :
  - se conformer aux réglages normalisés des tailles, couleurs, polices et
    moyens d'interaction du système Windows ;
  - assurer la compatibilité avec l'option « Contraste Élevé » ;
  - fournir un accès, documenté, par le clavier à toutes les fonctionnalités ;
  - fournir une indication de l'endroit réceptif à la frappe du clavier ;
  - ne pas fournir d'information uniquement par le son.

 Que signifie alors l'accessibilité, dans le discours de Microsoft ?
C'est simple : cela signifie que Microsoft Windows et autant
d'applications pour Microsoft Windows que possible doivent satisfaire
une norme minimale d'accessibilité. À première vue, ceci est tout
à fait naturel et compréhensible, et même louable ; après tout,
il est raisonnable qu'une société formule ses recomandations en vue
de l'acessibilté d'une manière qui met en relief l'adéquation de ses
propres produits au marché. Mais cette politique a l'avantage agréable
et attractif de bien s'insérer dans les efforts tous azimuts menés par
Microsoft afin de préserver ce que le juge Thomas Penfield Jackson a
appelé la barrière applicative à l'entrée sur le marché, c'est-à-dire
les effets de réseau fondés sur l'énorme masse de logiciels compatibles
Windows. Un effet de réseau apparaît lorsqu'un produit, même s'il est
moins bon, domine tellement le marché que les consommateurs sont pénalisés
s'ils choisissent un produit concurrent, même s'il est techniquement
supérieur.

 Les relations entre la politique d'accessibilité de Microsoft et les
efforts de cette dernière pour préserver cette barrière à l'entrée sur
le marché deviennent plus claires quand on regarde le message promu
la société auprès de ses clients professionnels : vous feriez mieux
de choisir Windows, ou vous serez traînés en justice. Aux États-Unis,
selon Microsoft, les lois fédérales (y compris l'Acte sur les Américains
Handicapés de 1990) accordent aux employés le droit de « poursuivre en
justice leur employeur ou leur employeur potentiel si les logiciels que
ces derniers utilisent n'est pas accessible » (d'après Greg Lowney :
« [5]Le besoin impératif d'une conception en vue de l'accessibilité
»). Le document avertit que, dans un entreprise de plus de 15 employés,
ne pas se conformer à ces lois peut aboutir à des poursuites en justice
ou à des amendes.

 Mais qu'est-ce que du « logiciel accessible » ? Compte tenu de la
position de pointe de Microsoft et de la prédominance de ses produits
sur le marché, il semble raisonnable d'affirmer que les caractéristiques
d'accessibilité de Microsoft Windows définissent un niveau raisonnable
d'accessibilité, compte tenu des limitations techniques du moment.
Et il y a des preuves suffisantes que c'est bien ce qui est justement en
train de se passer. Par exemple, la Fédération Nationale des Aveugles a
récemment plaidé devant un tribunal fédéral des États-Unis d'Amérique
qu'America Online (AOL) violait l'Acte sur les Américains Handicapés
en ne fournissant pas de facilité d'accès aux utilisateurs aveugles. La
raison ?  Le logiciel propre à AOL utilise « des dessins non étiquetés et
des commandes ne pouvant seulement être mises en oeuvre qu'en utilisant
une souris et des éléments d'interface particuliers » (cité par Jonathan
Bick, « L'AAH s'applique-t-il ? », National Law Journal, 15 Mai 2000). Le
procès a conclu [NDT : le plaignant a allégué ?] que cette conception
logicielle empêche l'utilisation des programmes de lecture de l'écran,
et, par suite, crée une discrimination à l'encontre des utilisateurs
mal-voyants.  Ce qui est particulièrement intéressant dans ce procès,
c'est c'est qu'il définit AOL comme un « lieu [NDT : service ?] public »
visé par l'AAH, comme si AOL était sur le même plan qu'une école publique
ou un bâtiment gouvernemental. Il est ainsi allégué qu'AOL viole l'AAH,
qui stipule qu'« aucun individu ne doit être, à cause d'un handicap,
l'objet d'une discrimination qui empêcherait son accès complet et normal
aux biens, services, équipements, privilèges, avantages ou espaces de
tout lieu public » (42, USC 12182[A]). Une conséquence claire de ceci,
ainsi que d'autres procès, est que tout employeur utilisant des logiciels
non conformes à la norme minimale d'accessibilité en vigueur - définie
de facto par la pratique de Microsoft en la matière - court le rique d'un
procès.  La morale de l'histoire ? Vous feriez mieux d'utiliser Windows.

Un monde dominé par Microsoft est-il dans l'intérêt bien compris des
handicapés ?

 S'il vous plaît, ne vous méprenez pas sur l'argumentation que je défends.
J'applaudis les efforts de Microsoft en vue d'améliorer l'accessibilité
de ses produits, et je suis entièrement pour qu'AOL rende son logiciel
plus facile d'emploi pour les mal-voyants. Ce n'est pas la faute de
Microsoft si elle est en pointe en matière d'accessibilité du système
d'exploitation, malgré le bon travail effectué par Apple et d'autres
sociétés. Néanmoins, il est raisonnable de s'interroger pour savoir si un
monde dominé par Microsoft est dans l'intérêt bien compris des handicapés,
et je pense que la réponse est non.

 Afin de situer cette thèse dans une perspective historique, il est bon
de se souvenir que, pour beaucoup de handicapés, la montée en puissance
de Microsoft Windows a constitué un recul de l'accessibilté, au moins
au début. Auparavant, les techniques basées sur MS-DOS avaient eu
suffisamment de temps pour atteindre un certain degré de maturité, et
étaient largement utilisées. En comparaison, les interfaces graphiques
lancent plus de défis aux personnes souffrant de troubles de la vue,
de l'ouïe et de la dextérité que les systèmes d'exploitation à base de
texte. Aussi louables que soient les efforts de Microsoft en faveur de
l'accessibilité, il peuvent être analysés comme un rattrapage au cours
duquel la société a réussi à surmonter certaines des limitations, mais
non toutes, imposées par par une interface utilisateur graphique. Il faut
porter au crédit de Microsoft que la société a surmonté beaucoup de ces
limitations, mais la domination presque sans partage de Windows sur le
marché de l'ordinateur personnel élimine le genre de flexibilité dans
la conception de l'interface qui permettrait aux utilisateurs ayant des
besoins particuliers de passer à un environnement informatique textuel.

 Au contraire de l'architecture de Microsoft Windows, Linux (à l'image
de tous les systèmes d'exploitation UNIX) sépare l'interface utilisateur
du système d'exploitation sous-jacent, ce qui signifie que les
utilisateurs sont libres d'utiliser des logiciels textuels ou graphiques
(ou les deux à la fois, s'ils le souhaitent). S'ils choisissent une
interface utilisateur graphique, il ont de même le choix entre une
grande diversité de gestionnaires de fenêtre, utilitaires fournissant
les services de gestion des fenêtres aux applications. Ils sont aussi
libres de choisir entre différents bureaux, tels que GNOME et KDE, qui
fournissent des possibilités de réglages cohérents et simples d'emploi
à l'usage des applications et de la gestion du système. La thèse est
ici que du logiciel très accessible pourrait être développé à n'importe
quel niveau de cette hiérarchie, voire à tous, et que de plus de tels
logiciels peuvent être adaptés aux besoins de groupes spécifiques ; et
même à ceux d'individus spécifiques. Bien plus, cette flexibilité peut
être maintenue sans demander aux utilisateurs d'abandonner la possibilité
d'échanger des documents ou de communiquer avec d'autres utilisateurs
- à condition, bien sûr, que Microsoft ne réussisse pas à imposer ses
normes et protocoles propres en tant que base des communications et des
échanges de données sur l'Internet.

Fournissons une alternative.

 Avec KDE 2.0 et un GNOME rajeuni en ligne de mire, le temps est venu pour
la « communauté » Linux de reprendre l'initiative dans le domaine
de l'accessibilité. Au minimun, les gestionnaires de fenêtres et les
bureaux devraient être conformes [6]recommandations minimales en vue de
l'accessibilité des logiciels certifiés pour Windows.

  1. permettre aux utilisateurs de paramétrer selon leurs besoins
     la taille d'affichage de l'écran, les couleurs de fond et de premier
     plan, les couleurs indiquant la receptivité à la frappe du clavier
     et la sélection ; garantir que toutes les informations apportées
     par les couleurs sont aussi disponibles sans couleur ;

  2. implanter un paramétrage de contraste élevé sans obliger
     l'utilisateur à modifier son document ou à utiliser un logiciel
     spécifique ;

  3. fournir un accès clavier bien documenté pour toutes les
     fonctionnalités des programmes, et tester complètement les commandes
     clavier afin d'assurer qu'un utilisateur mal-voyant ne se retrouve
     pas « piégé » ou dans un état aux conséquences imprévisibles quand
     il utilise uniquement le clavier pour piloter l'application ; il
     y a ici un besoin impérieux de raccourcis claviers normalisés qui
     soient uniformément appliqués et utilisés, à la fois aux niveaux du
     bureau et des applications ; la cohérence est un élément important
     de l'accessibilité des logiciels ;

  4. fournir une indication de l'endroit réceptif à la frappe du clavier
     suffisamment explicite pour les mal-voyants ;

  5. fournir l'information sous forme visuelle aussi bien que sous forme
     sonore ; ne pas apporter d'information uniquement par le son ;

  6. fournir des équivalents textuels pour toutes les informations ; ne
     pas apporter d'information uniquement par le dessin ; fournir des
     résumés textuels pour les graphes et les diagrammes.

Impliquez vous.

 Vous pouvez apporter quelque chose.

 Tout d'abord, visitez la [7]Page d'accueil pour un Linux accessible.
Hébergée à l'Université de l'Illinois à Urbana-Champaign, ce projet
étudiant a mis au point pour XFree86 des fonctionnalités analogues aux
Options d'Accessibilité de Microsoft. Ce projet va avoir besoin d'un
pilote, et peut-être d'un nouvel hébergement, afin d'acquérir l'amplitude
nécessaire à sa réussite.

 Ensuite, lancez votre apllication GNOME, GTK ou KDE favorite, et regardez
dans quelle mesure elle est conforme à ces recommandations. Imaginez
que vous êtes un utilisateur souffrant d'une vue, d'une ouïe ou d'une
dextérité amoindrie. Où rencontrez vous des difficultés ? Aboutissez vous
à des impasses qui ont rendu le programme inutilisable ? Notez ce que
vous avez appris, élaborez des suggestions constructives et pratiques et
envoyez-les aux auteurs du programme - et n'oubliez pas de les remercier
pour leurs efforts !  Si vous êtes programmeur, proposez votre aide
pour implanter vos suggestions. Envoyez aux auteurs un exemplaire de
cet article.

Pour plus d'informations...

 De La Rue, Michael, 1997. "[8]Linux Access HOWTO".

 Trace Research and Development Center, University of Wisconsin,
 Madison, 2000. [9]UNIX and Linux Software Toolkit.

 Walker, William D., et al., 1992. « [10]Rendre X11 plus accessible
 aux handicapés ».

 Bienvenue à Bobby (<A HREF="http://www.cast.org/bobby">http://www.cast.org/bobby</A>).
 Bobby est un outil ouaibe qui analyse les sites ouaibe selon le critère
 de leur accessibilité aux handicapés. Vous pouvez vérifier votre site
 en tapant son URL dans la page.
   
 Bryan Pfaffenberger est professeur d'études des media à l'Université
 de Virginie et l'auteur de plusieurs livres sur Linux, dont « Linux
 expliqué clairement » (Morgan-Kaufmann, 2000) et « Maîtriser GNOME »
 (Sybex, 2000).

   Copyright 2000 Specialized Systems Consultants, Inc.

Références

  1. <A  HREF="http://microsoft.com/enable/dev/guidelines/software.htm">http://microsoft.com/enable/dev/guidelines/software.htm</A>
  2. <A  HREF="http://microsoft.com/enable/microsoft/default.htm">http://microsoft.com/enable/microsoft/default.htm</A>
  3. <A  HREF="http://microsoft.com/enable/microsoft/computers.htm">http://microsoft.com/enable/microsoft/computers.htm</A>
  4. <A  HREF="http://microsoft.com/enable/dev/guidelines/logo.htm">http://microsoft.com/enable/dev/guidelines/logo.htm</A>
  5. <A  HREF="http://microsoft.com/enable/dev/reasons.htm">http://microsoft.com/enable/dev/reasons.htm</A>
  6. <A  HREF="http://microsoft.com/enable/dev/guidelines/software.htm">http://microsoft.com/enable/dev/guidelines/software.htm</A>
  7. <A  HREF="http://cmos-eng.rehab.uiuc.edu/accessx/">http://cmos-eng.rehab.uiuc.edu/accessx/</A>
  8. <A  HREF="http://metalab.unc.edu/mdw/HOWTO/Access-HOWTO-2.html">http://metalab.unc.edu/mdw/HOWTO/Access-HOWTO-2.html</A>
  9. <A  HREF="http://trace.wisc.edu/world/computer_access/unix/unixshar.html">http://trace.wisc.edu/world/computer_access/unix/unixshar.html</A>
  10. <A  HREF="http://trace.wisc.edu/docs/x_win_disability/x_disabl.htm">http://trace.wisc.edu/docs/x_win_disability/x_disabl.htm</A>
  +
  11. <A  HREF="http://noframes.linuxjournal.com/lj-issues/mags.html">http://noframes.linuxjournal.com/lj-issues/mags.html</A>
  12. <A  HREF="http://noframes.linuxjournal.com/subscribe/free_issue.html">http://noframes.linuxjournal.com/subscribe/free_issue.html</A>
  13. <A  HREF="http://www.ssc.com/">http://www.ssc.com/</A>
  14. <A  HREF="http://noframes.linuxjournal.com/articles/currents/021.html">http://noframes.linuxjournal.com/articles/currents/021.html</A>


[NDT : ouf !]

-- 
Marc Thirion              | Toulouse, France
Un Travail pour Chacun    : http://www.multimania.com/untravailchacun/
Marc.Thirion@ISOscope.com : http://www.ISOscope.com/Pérennité des logiciels et des systèmes



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