(Courriels de diversion: <assagie@dispersait-aimants.com> <soldee@necrologiques-belligerante.com> <emulee@montgolfieres-deliberant.com> <aviserai@emergeriez-impartiaux.com> <inacceptation@collera-guerissable.com> <recipiendaires@coopteras-renouvellerai.com> <sacraliser@denoncerez-frequenterons.com> <patrimoine@nordir-joignes.com> <ping-pong@debudgetiserons-seigneuriale.com> <pilotes@postoperatoires-rafraîchirent.com> )


>>>>> "gb" == Guilhem BONNEFILLE <Guilhem.Bonnefille@laposte.net> writes:  
  gb> Festival semble pouvoir fonctionner en mode client-serveur (avec un
  gb> client dédié).

oui, voir la package Debian de festival qui le démarre en mode
serveur (option en ligne de commande "--server"). 
  
  gb> L'avantage, c'est que cela ne devrait pas être trop dur. La partie la
  gb> plus délicate ce situe autour du serveur :
  gb> - il faut gérer plusieurs clients,
  gb> - éviter les conflits (un seul pronnonce une phrase à la fois),
  gb> - assurer la restauration des contextes de chaque client (chacun peut
  gb> avoir choisi des voix différentes).

le projet speech-dispatcher a déjà une architecture implantée qui
permet de faire beaucoup de ça: client multiples par connexion TCP,
backends de synthèse multiples avec sélection par langue, commandes de
changement de voix et de vitesse etc. Je crois qu'il suffirait de
rajouter un backend lliaphon+mbrola+play. 

Il serait peut-être intéressant d'enrichir speech-dispatcher avec des
icônes vocals, à la manière de Emacspeak, et établir un protocole qui
permette de les désigner en fonction de la langue courante (certains
icônes peuvent être des bips, alors que d'autres seront des petits
bouts de phrase qui dépendront de la langue).

Je pense qu'il pourrait être intéressant d'ajouter une interface D-BUS
au speech-dispatcher, en intégrant des messages de type vocal. 

  http://freedesktop.org/Software/dbus


  gb> Je me suis documenté rapidement. Il ne me semble pas trop difficile de
  gb> rajouter un module dans le noyau.

ce n'est pas très difficile, mais ça pose toutes sortes de problèmes:
il faut avoir des droits particuliers pour pouvoir charger un module;
on risque de planter le noyau si le module est mal programmé. En règle
nécessaire, on ne met des choses dans le noyau que si c'est absolument
nécessaire: s'il faut que le mécanisme implanté ne puisse être
contourné par un utilisateur, ou s'il faut accéder à des éléments
matériels particuliers.

Je ne vois rien dans nos besoins qui oblige à être en mode noyau. 
  
-- 
Eric Marsden                          <URL:http://www.laas.fr/~emarsden/>